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musique

Instant volés

Instants volés, tel est l’intitulé de ce livre.

Angelo Brenez est tout l’opposé d’un voleur. Ces instants sont des instants généreusement consentis car chacune de ces dames s’est sentie sublimée par l’attention et l’estime de l’artiste. L’approche, l’écoute et le respect du peintre ont convaincu les modèles à dévoiler leurs courbes et leur beauté. Mais en plus de cela, elles ont mis à nu leur âme !

Angelo établi un rapport particulier avec chacune d’elles. Il les courtise, les libère de toute fausse pudeur.

Angelo ?

L’homme qui murmurait à l’oreille des dames !

Cela me rappelle un certain film, cependant lui ne dresse pas ses modèles, il les immortalise par son art !

Bien sûr certaines rencontres furent au-delà d’une séance de pose… femme conquise, femme séduite, pour Angelo, son art s’exprime aussi par ses sentiments. Car c’est un sentimental, un éternel amoureux de la femme dans toute la splendeur du terme. Il n’a pas qu’une vie, il a des tranches de vie : il nous les livre à cœur ouvert dans ce livre. Vous découvrirez de belles tranches de vie, mais il n’y a pas encore de dernière page, car l’artiste, pas encore rassasié, ni fatigué de conquérir d’autres courbes, écrit encore sa symphonie inachevée.

 

TREMERIE Serge,                         Sculpteur et poète.

 

Textes Dessins Peintures

Angelo Brenez

 

Modèles

 

Anna Rembas, Laurence Janssen, Magalie Reno

Phobe, Lilou, Anne Mathey, Nath Adam

Nathalie Riche, Paulina Wiejack, Véronique Bisciarri

Eve Stevens, Marylin Jacot, Claudius,

Sophie Albaladejo, Frederique Ruis, Lily Rose

 

Frédérique Ruiz

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Ils furent étranges, nos premiers échanges, je te voyais méprisante des rêves qui me hantent. Il n’y avait rien d’ordurier, point d’injure, ni de grossièreté mais de l’incompréhension vis-à-vis de ma passion !

Je rêve la femme, là n’était pas le drame mais j’étais incompris, je percevais même du mépris. Comme nous sommes intelligents, nous avons analysé ces moments, le physique était un dilemme, nous avons éliminé ce problème. Il n’y a eu aucune flatterie, nous avons simplement échangé des moments de vie, moi mes rêves un peu fous, toi, les tiens tout aussi fous et sans nous en rendre compte, il y a un semblant dans nos contes…

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