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Angelo Brenez
(Daniel, Emile, Angelo Brenez)

Je rêve la femme et la pose sur la toile et le papier, c'est la raison de ma passion et pourtant, la passion n'engendre jamais la raison!

Mes travaux au jour le jour

Un simple clic pour les agrandir

Je suis un révolutionnaire romantique.

Si je pratique l’art de la femme,

C’est simplement, Messieurs,

Que vous me semblez moins beaux.

La matière n’est pas noble,

Car si je sculpte c’est par égarement.

Ma peinture est vocation.

Mon dessin, n’est que liberté, évasion,

L’écriture, un accident, une réflexion,

Mes sculptures, des exceptions!

Toute reproduction

même partielle interdite ©

recueils, romans,
bandes dessinées

Je suis né en 1946, j’étudie à l’Académie Royale des Beaux Arts de Mons en Belgique. Je ne termine pas mes études, je n’aimais pas l’enseignement tel qu’il était donné mais je crois surtout que j’avais mes idées déjà bien établies. Je ne participe à aucun concours, j’ai fait partie une seule fois d’un jury et je le regrette, je ne suis pas assez imbu pour cela. L'art est tellement complexe et particulier à chaque individu, on peut émettre un avis, pas une certitude!

J’essaie de partager mon art, pas de l’imposer. On aime, j’apprécie, on n’aime pas, je comprends !

 

J’expose partout où le destin charge le hasard de faire connaître mes œuvres, j’ai des travaux disséminés en Europe. Pour exposer, on est bien chez soi mais mon pays de prédilection est la France.

 

Mais d'autres expliquent mieux mon travail, sans doute avec un peu trop d'éloges!

 

En 2000, sous le patronage de la Communauté Française Wallonie Bruxelles et de Monsieur le Ministre Hervé Hasquin, j’édite mon premier recueil de textes, dessins et peintures. La préface est faite par un Sculpteur Français, Hervé Tonglet

« Nous pratiquons un art vulgaire, car figuratif, Au peintre fous, à l’homme qui nous offre la femme cachée dans le blanc de nos vies de papier. Sous un trait de magie noire, la voici posée pour le soir, la lumière est complice, la main de l’artiste se couche près d’elle, caresse son corps. Pour éloigner la mort, la force d’aimer d’une main surdouée a fait naître la vie »

 

En 2005, suite à un reportage de la RTBF, télévision nationale belge, je réalise un second recueil, Daniel Pelletti, un peintre italo-belge fait la préface. Je cite un passage.

« Les méandres du corps invitent souvent aux voyages pour mieux respirer l’autre. »

 

2007, de mon propre chef, je réalise le troisième. Cette fois, la préface est faite par un sculpteur belge Fredy Taminiaux, son analyse dans son avant propos est :

« Explorateur de la féminité, Angelo Brenez stigmate au centre de sa recherche, ce pourvoyeur de courbes qui symbolisent la femme. Univers avec sa sensualité ses charmes, la musique qui en émane et les sortilèges qu’il abrite, suffit amplement à inciter notre esprit de concevoir une caresse qui en dira plus long que n’importe quel mot. Dans cet ouvrage où le talent de l’artiste trouve une de ses plus ferventes dimensions, le rêve ouvre grand ses portes pour l’accueillir. Comme l’oiseau des songes, il s’envolera plus loin encore, en partage, au-delà des longitudes et des latitudes… Juste entre l’enfer et le Paradis ! »

 

2011, sur ma lancée, un quatrième recueil est édité. La préface est réalisée par Michel Benoit, écrivain français dont voici un passage :

« La première singularité des œuvres d’Angelo Brenez est de ne pouvoir être rattachée d’emblée à aucune école ou tendance car il s’attarde volontiers sur des figures féminines impassibles, intégrées à des compositions picturales complexes.  Sur beaucoup de ses toiles, un leitmotiv revient en continu, le fil rouge porté par une jeune femme. Le fil rouge, témoin de l’histoire de l’être de sa naissance à sa plénitude, le fil rouge, symbole d’amour de l’autre mais aussi de sa souffrance. Fil reliant le maître à son modèle. Angelo Brenez construit ses toiles, non pour représenter le réel mais pour tirer d’une vision faussement réaliste, une expression d’ordre fantasmatique !

 

2013, le plaisir d’avoir plusieurs modèles m’incite à rééditer, c’est Francis Willot, un autre artiste, un magicien qui commente ce recueil « Bas les masques » « Il plane en douceur au-dessus de la sérénissime… Le vent caresse ses ailes, sculpte son vol à la fois puissant et doux, sûr de lui…  La mer prend des reflets mordorés sous le soleil couchant, le crépuscule approche et Venise, en bas, s’assoupit lentement dans la tiédeur moite de cette soirée naissante. Soudain, son œil scrutateur distingue, là, quelque chose ; instinctivement, il descend alors en piqué, droit sur la ville, les sens tout à coup en éveil, devinant déjà ce qu’il va découvrir mais appréhendant de s’être trompé… Gracieusement, il se pose sur le muret faisant face à la fenêtre ouverte… Oh, non, il ne s’est pas trompé : à l’intérieur de la pièce, sur des draps de satin blanc est allongée une femme. Sans la connaître, il la reconnaît aussitôt, c’est elle son rêve éternel, son amour obscur et pourtant si plein de lumière, son égérie, son souffle, son obsession magnifique, sa raison d’être… » 

 

2014, Je décide de nous mettre en scène, moi et ma compagne, un travail en commun. Elle est mon égérie, elle pose mais nous réalisons les dessins et toiles selon nos idées communes. plus d'un an déjà, nous avons déjà réalisé une exposition sur ce thème "Mise en scène"

 

2015 Une seconde exposition est faite sur ce thème de "Mise en scène" mais avec un recueil terminé. Anna Rembas, ma complice de ces moments écrit ceci : Qui suis-je? Une femme simple qui est venue ici avec un bagage d’expérience en cherchant un meilleur avenir… Et je l’ai trouvé grâce à toi MON MAESTRO !Tu as déniché mon visage en pleine vie quotidienne, grise, tu l’immortalises chaque jour  avec un dévouement complet en peignant avec ton cœur chaque nouveau portrait…Tu as remarqué mon intérieur « diabolique » pas le visage idéal… Pas la figure idéale mais pour toi, tout en moi est beau et pour moi aussi quand je vois l’effet final de ton travail. Je te remercie Angelo pour ton amour et ton dévouement, ainsi que pour m’avoir montré ma propre beauté que personne n’avait découvert… Même moi !

 

J’ai publié entre temps deux romans "Monsieur Ange" et "Confidences  intimes d'une mort souhaitée" 

Une bande dessinée érotique "Les insoumises" Préface de Michel Cornet, poète belge "Quelques minutes auront suffit à l'artiste et poète pour recréer la femme, à l'imaginaire dépossédé de tabou. Ambitieuse de plaisirs secrets et désireuse de partager. Alors, pourquoi ne pas l'accompagner d'une amoureuse. Créer un duo enfiévré, où les membres se chevauchent et s'entremêlent avec une frénésie insatiable, et pour sur une couche de blanc décor faire que les corps s'épuisent et scintillent de sueurs tièdes.

L'artiste trop excité par son œuvre n'aura sûrement pas vu naître un troisième larron, son sosie. Mais comme il faut toujours donner une utilité à toute création, pourquoi alors, ne pas imaginer composer avec un trio amoureux.

S’employer à trois pour vivre la plénitude des sens, chacun s'adaptant aux humeurs, aux envies du moment, au charme de l’instant.

Ainsi l'esthète, comme un angelot tout baigné d'innocence, nous transporte jusqu'aux cimes de quelques désirs ambigus, énigmatiques."

 

2016 Diabliczka 1976, une série de dessins et peintures demandées par ma compagne, Anna Rembas, un recueil qui départ  était personnel !

 

Bientôt, sortie d’une bande dessinée avec un ami écrivain français, Michel Benoit et commencement d'un autre recueil "Instants volés" où je capte simplement des moments, des situations ou des envies de mes modèles.

2017, recueil sans fin "Instant volés" avec ces moments de vie de mes égéries, bien expliqué par Serge Trémerie, poète belge " Angelo Brenez est tout l’opposé d’un voleur. Ces instants sont des instants généreusement consentis car chacune de ces dames s’est sentie sublimée par l’attention et l’estime de l’artiste. L’approche, l’écoute et le respect du peintre ont convaincu les modèles à dévoiler leurs courbes et leur beauté. Mais en plus de cela, elles ont mis à nu leur âme !

Angelo établi un rapport particulier avec chacune d’elles. Il les courtise, les libère de toute fausse pudeur.

Vous découvrirez de belles tranches de vie, mais il n’y a pas encore de dernière page, car l’artiste, pas encore rassasié, ni fatigué de conquérir d’autres courbes, écrit encore sa symphonie inachevée."

 

Un autre recueil, je veux rendre hommage à "Anna Rembas", celle que j'ai posée le plus sur la toile. et le papier. 

2018 Ma dernière folie est en construction en vue d'une exposition avec évidemment un  recueil  à la clef "Coco"! 

2019, Coco est terminé, Michel Benoit à tout compris: 

Dans ce recueil de dessins, de peintures, de textes et de photographies, dédié à Corinne Sciré, Brenez avoue qu’après avoir tenté de tourner la page, celle du dessin, de la peinture, pensant qu’il pourrait vivre une seconde vie, loin de ses dessins, de ses toiles et de ses merveilleux modèles, il devait accepter de se rendre à l’évidence et comprendre que le pinceau, le crayon était le prolongement naturel de son bras.

Il aura mis plus d’une année à reprendre le chemin. Tous deux s’étaient promis de jouer un jeu de rôle, où l’une devait prendre des poses et où l’artiste s’imaginerait, très platoniquement, lui déclarer sa flamme. Une flamme qui ne pouvait avoir qu’une issue, celle de la fuite, en attendant de rêver à une autre égérie qui s’approprierait, elle aussi, un fil rouge éternel.

Impossible de freiner ma rage de dessiner, de peindre ou d'écrire, celui-ci terminé, c'est reparti pour un autre recueil avec Eve Stevens, avec aussi Frédérique Ruiz et cela avec de nombreux dessins et peintures!

2020 se présente, je venais de terminer le recueil "Eve Stevens" et je commence un nouveau recueil "Nouvelle saison" Automnale sans doute vu mon âge mais sans pour cela penser à l'hiver!

Malheureusement, depuis mars, la création se fait au ralenti, une pandémie s'est installée et le confinement est nécessaire!

2021 la pandémie perdure, j'ai quand même pu achever "Nouvelle saison", j'attends la préface pour l'éditer. J'ai commencé "C'est extra" mais nous sommes toujours confinés, pas évident de recevoir un modèle!

Mais je m'y fais, pas de solitude, j'écris un nouveau roman et je suis accompagné par mes personnages... Anna, Plume, Marie, p'tit Lulu, Monsieur Paul, Van Hout, le commissaire Van Gouthem, sans oublier Duduche... et d'autres!

 

Je n'ai pas pu résister, Anna Rembas, mon éternelle égérie est toujours présente alors, "Naturelle" est commencé, 2022 le verra peut être terminé, étrangement, l'idée de rêver une autre m'est sorti de la tête!

 

2023, j'ai mis mes dessins et mes peintures en mode relâche,  l'écriture a pris le dessun un nouveau roman vient d'être publié, un autre est en construction !

Pour la suite, l'itinéraire d'un artiste n'a pas de fin!

Quelques sculptures

Photos Frederique Ruiz

Un immense merci à tous mes modèles qui au fil du temps, m'ont permis de les rêver, de les poser sur la toile, le papier

et le plus souvent, de m'inspirer ces textes! 

Impossible de vous nommer toutes, plus de 50 ans de passion mais vous vous reconnaîtrez!

Vous êtes la raison de ma passion et pourtant, la passion n'engendre jamais la raison mais je n'ai pas envie d'être raisonnable!

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